J’ai oublié vos bras
Mais je n’ai jamais pu
Oublier votre manière
De danser
Ce tango long et lent
Qui fluait doucement
Et que vous me teniez
Seulement sur le parquet
Glissant du bout de la montagne
Alors j’oubliais tout
Et je ne sentais rien
Que la douce chaleur
De vos mains
Tout allait simplement
En accord’éon triste
Dans cette salle obscure
Du dimanche perdu
Je portais des souliers
Qui glissaient sur la liste
De vos amies perdues
Un long enchaînement
De valses tutélaires
Eteignait nos aveux
Et vous me rameniez
Un peu ivre un peu fière
Vers la chaise de bois
Au coin du bal heureux
Et cette mélopée entraîne
Encor mes doigts
Sur un papier glissant
Où je nous vois danser
Encor et main tenant .
Marine
1° janvier 2020 17h
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RépondreSupprimeroui je supprime aussi mes commentaires c'est idiot je reparle ici du bal dont je viens de parler dans les bras paysans d'un danseur amoureux
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