Po@mes
moi j’écris des po@mes qui sortent du dedans
tu sais l’endroit qui sécrète en secret dans l’âme
des choses inconnues qui viennent d’autre part
soit de la part des anges soit de n’importe où
je vis étrangement dans l’infortune du pot
bon à midi j’avais du chou je l’ai laissé pour
chouchouter les
adorés du chou les choux
pommés paumés dans l’allée des showmen
qui la fourche à la main posent pour la commune
le jour des sous fin de mois, moi j’ai pas d’infortune
on m’envoie par les airs des carnets de billets
pour le concert des chérubins de cherubini
tu connais, mais moi j’ai pas besoin de ça
je nécessite en fait des amours flagorneurs
qui disent les menteurs des mensonges
du mental.
Alors moi pauvre femme je crois je croisse je croise
Les mots sur le journal d’avant la guerre quand
Dans la rue des frères on entendait tonner les canons
Je me mets à la cave sous l’escalier en bois
Et je rêve au jour où je mourra d’une pouchée de fièvre
Mais le docteur vient plus, il a dit non.
Bon va te reposer doc tu es usé et moi aussi
Je vais jeter tes accordailles de labos fanatiques
C’est moi que je connais ce qui me fait du bien
Et je recopie pas les doses du papier illisible
Comme vous le docteur qui me mettait le max
pour me tuer
Alors que vous dites euh thanasier ? jamais !
Marine 23 2 24
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.