L’ouette
d’Egypte
Tu
lui as serré l’aile
Une
plume est restée
Au
revers de ta veste
Là
où tu cherches
En
te retournant
Si
tu es bien toi-même
Alors
que tourne la terre
Que
la lune est si belle
Et
les eaux te foudroient
Au
clocher des abeilles
Tintent
les alphabets
Inconnus
et sonores
Qui
viennent d’un ailleurs
Que
tu ne connus pas
Et
le cri des clairières
Au
passage de l’ouette
Tu
dis je ne peux pas
Et
tu fermes la porte
Aux
volets de tes yeux
Car
blanche est la lumière
Et
le cœur est tout bleu
Où
étais-tu hier ?
Marine
12
mai 2017
15h
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