Du
sirhum enrhumé au théorhum attique
Un Vulcain péléen
lassé de ses démones
Qui
enlavent de bave les flancs épidauriens
De
la céleste mère où Egée emporta
Père
Enée sur son dos proclama
Minos
Pasiphaé dédalez en coursive
Le
toro aiguillé dégoutte moelena
Au
jardin d’oliviers d’un pauvre homme
Samarinette
ailée portant la jarre pleine
Du
vin des oliviers au milieu des ilotes
Ivres
de vendanger et gueulant des péans
En
langue chypriote les spartiates au pied
Cognant
dans les cnémides
Des
présocratiques en déroute
Devant
l’invasion des scribes assoupis
Des
aèdes accroupis déclamant Aristote
Au
bord d’Iphigénie où gît Agamemnon
Oh
non
Que
nenni dirent le pouce en bas
Les
gladiateurs de Rome
Venus
en aqueduc
Vous
n’aurez pas ma pomme
Et
le chapeau tomba .
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