Immobile je
vais
Les enterrés
vivants
Bâtissent
une rosace
Autour du
court-circuit
Qui les
coupe du vrai
Cage de
Faraday
Emplie de
faux espoirs
Qui
clignotent violents
A mon œil
dissident
Silence
prestigieux
De mon antre
soliste
Où chante seulement
Une sonate
triste
Et le
silence bleu
D’un
hortensia ardoise
Qui crache
dans son ombre
Une lumière
exquise
La librairie
en feu
Illumine la
face
De ces
liseurs de peu
Pareils à
des soleils
Et j’ai
signé Ronsard
Sur une
écorce d’arbre
Perdu sur un
trottoir
Dans une rue
de marbre
Et je meurs
par défaut
De lumière
et de larmes
Dans
l’absence à moi-même
Ruisselant
de mes algues
Regarde bien
en toi
Et laisse
tout le reste
Accident de
ténèbre
Epiphanie
lumière
Infirme bien
portant
Je marche
sans bouger
Vers cet
ultime instant
Enfant
abandonnée .
Marine 110ct
18
10h
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