La
robe verte
Je
l’ai mise une seule fois
La
robe serpentissime
Portefeuille
d’une amazone
Commencez
à chauffer le four
Avec
mes copies indécentes
D’anges
bannis et d’unicornes
Je
suis celle de mort première
Et
vous tirez à flux tendu
Sur
celle qui doit tomber
Qui
dure trop et perpétue
Et
se confine en marmelade
Donnez
vos armes à mon époux
Corona
choisira pour vous
J’efface
mes vers ultimes
Pour
vous donner satisfaction
Dans
votre course sanguinaire
Ce
sont mes derniers écrits
Sous
les obus des bons apôtres
Qui
font de la dernière Cène
Un
repas de mes os blanchis
*« Allez
allez la messe est dite »*
Vous
avez tué la maudite
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