Derrière les hauts murs des cités de souffrance
Derrière les hauts murs des cités de souffrance
Qui ne sont que papier
que voiles transparence
Nous sommes aveuglés par notre petit moi
Et n’entendons jamais les autres cris d’effroi
Derrière les figures et les airs d’apparence
Il faut sentir la peur la joie ou l’impuissance
Il faut lire le cri du muet désespoir
Et ouvrir tout en grand avec notre innocence
Ouvrir les portes des cinq sens
Et toucher vraiment l’autre
Se glisser dans son sang
Jusqu’à mourir d’osmose
Et là je hurlerai à la lune
Inocente curandera de amor.
Marine
26 juin 2012
Innocente guérisseuse d’amour
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