Et le cheval pleurait
Sous le bât de la honte
Le cri derrière la langue
J’écris mortelle extase
Sous un têteau de saules
Dans le refuge de l’absence
J’écris sur le banc d’âtre
De ma désaventure
Et l’eau-fortier me grave
Le sourire qui tient
Ma bouche close
Je suis une aparlante.
Marine
16 janvier 2013
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oh il est vraiment beau celui-ci mais il faaut le comprendre, il va profond au fond des langues, il remnte au jadis, au perdu, à la mémoire de l'homme . Une aparlante, non je parle plus pour ne rien dire, il me suffit d'être là pour que tout esprit me comprenne et lise sur ma face .
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