Mets de l’eau dans ta colère
Les morts ne savent pas nager
Et on interne les poètes
Sur le seuil de la femme
Avec quelle eau laver ton absence
Je déborde de réminiscences
Je marche sur le bord de l’alphabet
A la lisière de l’obscur
Je cours derrière moi
Le soleil dans la poche
La chatte pleure son hiver
Les mères vivent à reculons
Un pied dans le brouillard.
Marine 17 juin 2017
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aimes-tu ce que tu écris
RépondreSupprimersecrétaire de moi
qui vois tout
et le trouve beau
aujourd'hui
mes poèmes légers au début deviennent de plus en plus réels, peut-être n'est-ce pas leur rôle mais j'ai besoin de dire ma vie enfin de pouvoir l'écrire, car ce mutisme total devant toutes attaques m'a épuisée et je me demande si je suis si horrible qu'on le dit méchamment sur le site icetea.
RépondreSupprimerje ne me suis jamais défendue, je suis une tortue qui court avec ses richesses sur le dos, poursuivie de sarcasmes.
les personnes qui m'entourent me trouvent tout le contraire et certains en profitent pour me tromper, médire, me voler, mais ceux qui restent m'aiment et moi aussi, maintenant je suis capable de renvoyer les gens mal intentionnés