Mais où sont les coulis d’antan
Qui descendent de nos vertèbres
Les frissons de l’Etre inhérent
Au feu qui chante sous notre âtre
Ni nu ni sort
Le Centre est sourd
Et sourd de l’Etre
Et comment irons-nous
A pied
Ensemble à contre temps
Et en plain jour
Lors que les chemins se défendent
Et les bornes font demi-tour
Que peut-on contre l’impossible
Quand tout crie je veux je voudrais
On reste couvert d’usnée
Comme un vieux tronc immarcescible.
Marine
6 mai 2013
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tu étais vraiment formidable avant que les têtes carrées ne te viennent te décapiter
RépondreSupprimeroui me voilà dans l'isoloir seule j'en appelle à Dieu
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