Elle secoua ses ailes d’archange fatigué
La pensée déserteuse
Un sourire de voie lactée
Devant ce bonheur avalancheux
Qui la désintégrait
Dans ce creux doux où commence le cou
Elle déploya son chant magnétique
Autour d’elle comme une corolle
Seule sur le canapé flottant
Où poissonnaient les poissons
Dans l’attente pure
D’un étrange paquebot
Elle se décongolisa
Et le silure du temps la reprit
Dans une liberté de savane
Esclave sans papiers
Devant un soleil couchant catastrophe
Un océan stupide de gris
Dans une pelote de sanglots
Elle régla l’addition pour tous
As usual.
Marine
14 novembre 2013
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merci ada c'est vrai que ses poèmes sont beaux et quel dommage de lui couper la parole maintenant
RépondreSupprimerelle manque terriblement d'écrire et de communiquer de laisser aux autres
mais elle ne veut pas servir ici de dépôt d'insultes donc on ne peut ouvrir les commentaires
lisez et priez pour qu'elle revienne vite car elle a peu de temps
elle vous suggère de faire une demande commune pour son retour
elle n'a jamais eu les mauvaises intentions qu'on lui prête
merci
je règle encore l'addition pour tous sur le site
Supprimerpersonne ne se demande où j'en suis
au lieu de croire la vérité des autres voyez la mienne
merci et restez sur votre ressenti
vous pouvez lire et me répondre ailleurs gentiment sinon ne dites rien
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