Vous alliez m’écraser
Juste un pied sur mon cœur
Que me font vos discours
Vos manipulations
Et vos suiveurs
Je ne courbe la tête
Je passe mon chemin
Avec d’autres soucis
Que vous ne savez pas
Et vous vous acharnez
Sur la victime
Et courbez votre échine
Devant les haut-parleurs
Quelle fierté
Quel honneur
Auriez-vous des sujets
Plus humains
Poétiques
L’indifférence tue
La bêtise fait rire
Ou pleurer
Je suis si près du trou
Poussez encore un peu
Vous écrirez alors
Un hommage posthume
Plein de pitié
Que nenni
Vous m’avez déjà tuée
No comment 12/4/18
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je vais bientôt reprendre la main sur mon blog car il est abandonné et j'ai besoin d'écrire;une injustice flagrante m'ayant expulsée de icetea et de les poètes je veux mettre chaque jour ici ce que j'écris afin de relever l'aurore sur le rideau épais de ma vie qui étouffe ainsi les bruits sonores de ma rêverie réelle sinon à quoi servent toutes les ignorances servies sur une assiette blanche par des lecteurs sans intérêt juste cherchant des motifs punitifs à mon existence ?
RépondreSupprimeralos ada passez moi la main sur mon journal de littéraire surréaliste mais réel je vous prie, merci !
j'ai déjà quelques écritures de ces derniers jours qui sont urgentes je n'écris plus sur le passé, les émotions devenant lentes, j'écris sur l'aujourd'hui car il n'y a aucun futur à cette vie inexistante, une vie de plante abandonnée au jardin des oublis et qui se meurt dans mon esprit sous la moquerie des curieux.
RépondreSupprimerje suis de plus en plus seule sauf la nuit où le train d'arrière pays me ramène à l'enfance et au passé endormi mais combien actif, donc je veux noter ce qui revient sous forme d'imaginaire car rien n'a plus de vérité que ce qui me réveille toutes les heures oui c'est moi marinette qui écris il est dix heures du matin hier j'ai vu the voice et je crois malgré les cacheries que les dés sont pipés à l'avance mais entendre chanter la jeunesse qui exhibe de telles voix est un de mes regrets je n'osais pas accepter ou demander quand l'on me proposa dix fois de prendre des cours de chant en musicothérapie aux concours, moi-même très étonnée de surprendre les gens par ma voix méconnue alors. Las les cordes s'usent à ne pas chanter ni parler ni se pendre à quelque crochet qui balance et là je repense aux pendus de Tulle .
RépondreSupprimermerci ada pour tout
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